Le cheval se sert de ce sens pour reconnaître les aliments. Ces derniers sont différentiés par le goût une fois passé l'étape du flairage. Le goût permet d'identifier les aliments qui sont bons pour leur santé et ceux qui sont néfastes. Ne possédant pas la capacité de vomir, le cheval se doit d'établir correctement son alimentation
[27]. À l'état naturel, le cheval est peu attiré par le goût sucré. La fréquentation de l'homme l'a habitué à ce goût
[28].